Nations Unies: Ancien Panneau de droits de l'homme se ferme sans aucune discussion droits

Nations Unies: Ancien Panneau de droits de l'homme se ferme sans aucune discussion droits

Que si elles ont tenu une réunion droits de l'homme mais n'a pas parlé tout courant questions de droits humains?

Que si elles ont tenu une réunion droits de l'homme mais n'a pas parlé tout courant questions de droits humains?

Cela a été le résultat de la dernière session de la Commission des Nations Unies sur les droits de l'homme, qui, sur Mars 27 a conclu ses 60 ans de travail. La réunion a examiné l'histoire de la Commission, mais n'a pas jugé un des défis d'aujourd'hui des droits humains.

La Commission est d'être remplacé par un nouvel organe des Nations Unies, le Conseil des droits, qui est destiné à avoir une plus grande responsabilisation et de transparence, et se réunira plus fréquemment.

Ironiquement, les questions de liberté religieuse et de conscience faisaient rage dans le monde entier que la Commission a commencé ses réunions. Dans certains pays sont encore protester la publication par un journal danois de caricatures qui aurait insulté la religion de l'Islam. Et comme le Groupe spécial a rencontré, les autorités de Kaboul, en Afghanistan, a terminé la poursuite d'Abdul Rahman, un Afghan de 41 ans pour la conversion de l'islam au christianisme. Rahman, dont la cause avait été préconisée par de nombreux dirigeants du monde et des groupes dont l'Eglise adventiste du septième jour, serait en quête d'asile politique en dehors de l'Afghanistan.

Appel de la transition »tranquille ou peut-être pas si tranquille révolution des droits humains», Louise Arbour, la Haut-Commissaire aux droits de l'homme, a reconnu les nombreuses réalisations de l'ancienne Commission, mais a ajouté qu'ils n'avaient pas été parfait.

D'autres intervenants ont souligné les problèmes de la politique et les doubles standards qui ont frappé la Commission. La Commission a été «miné par la politisation de ses sessions» et sa «crédibilité baisse a jeté une ombre sur la réputation du système des Nations Unies dans son ensemble", a déclaré le Secrétaire général Kofi Annan.

Selon le Dr Jonathan Gallagher, du septième jour représentant de l'église adventiste mondiale aux Nations Unies, la Commission a manqué une occasion de traiter des questions de fond.

"Il est regrettable que la Commission n'a donné aucune attention aux questions de droits humains du tout dans sa 62ème session," at-il observé. «Tous les retards et les reports causés par les négociations en coulisses signifiait que personne n'avait la possibilité de faire des présentations sur les questions de fond. Nous sommes venus prêts à prendre la parole sur plusieurs questions, en particulier atteintes à la liberté religieuse, et se sont vu refuser toute chance de parler. Nous convenons avec l'Ambassadeur du Brésil qui a parlé de son profond mécontentement au cours d'une séance dépouillé de toute substance, avec aucune possibilité de traiter des questions de préoccupation. De même, nous l'écho des paroles de l'ambassadeur des Pays-Bas qui a appelé pour le rôle de des organisations non gouvernementales de continuer à être souligné. "