Signaler cibles pires violateurs des liberté religieuse

Les Etats-Unis de la Commission sur la Liberté Religieuse Internationale a identifié 12 pays comme pires violateurs du monde de la liberté religieuse.

Les Etats-Unis de la Commission sur la Liberté Religieuse Internationale a identifié 12 pays comme pires violateurs du monde de la liberté religieuse.

Les Etats-Unis de la Commission sur la Liberté Religieuse Internationale a identifié 12 pays comme pires violateurs du monde de la liberté religieuse. Un rapport publié Septembre 30 nommés Chine, Inde, Iran, Irak, Laos, Myanmar (anciennement Birmanie), la Corée du Nord, Pakistan, Arabie Saoudite, le Soudan, le Turkménistan et le Vietnam.

La Commission, un organisme fédéral indépendant, est chargé en vertu du droit américain avec la désignation des pays qui sont engagés dans, ou qui tolèrent les violations particulièrement graves de la liberté religieuse. Une fois identifié comme un «pays particulièrement préoccupants» (CPC), la loi exige le président à prendre des mesures spécifiques pour s'opposer à ces violations.

Selon le communiqué de presse publié par la Commission, "la Commission a constaté qu'en Chine, les violations particulièrement graves ont en fait augmenté dans la dernière année. Le gouvernement chinois a intensifié sa campagne violente de répression contre les chrétiens évangéliques, catholiques, musulmans ouïghours, les bouddhistes tibétains et les groupes-tels que le Falun Gong qui ont été étiquetés comme «cultes du mal."

Aussi objet d'une mention spécifique sont l'Inde, avec de graves violences contre les minorités religieuses, le Pakistan, pour n'avoir pas su protéger les minorités religieuses de la violence sectaire; Vietnam pour sa politique répressive envers tous les croyants, et l'Arabie saoudite.

«Ces résultats par la Commission de démontrer l'importance vitale de maximiser le soutien à la liberté religieuse», dit James Standish, liaison avec le gouvernement américain pour l'Eglise adventiste du septième jour. "Nous avons besoin de garder de telles violations des droits humains au premier rang, et d'élever ces questions avec des responsables gouvernementaux de ces pays. Nous devons aussi encourager nos représentants élus de faire pression, à la fois économique et diplomatique sur les gouvernements de cesser de telles violations. "