Viorel Dima dit que l'ouverture des lignes de communication au sein d'une communauté est la première étape vers la promotion de la tolérance religieuse.
Militante roumaine liberté religieuse, Viorel Dima, dit que l'ouverture des lignes de communication au sein d'une communauté est la première étape vers la promotion de la tolérance religieuse. Dima est le directeur de l'Association Nationale pour la Défense de Conscience et Liberté (NADCL) en Roumanie. Au cours de sa Février 26 Visite au siège de la adventiste du septième jour Église mondiale à Silver Spring, Maryland, Dima a souligné les efforts continus de son organisation dans la promotion de la liberté religieuse comme un droit humain fondamental.
"La liberté religieuse est une partie essentielle de la société», explique Dima, qui est également directeur des affaires publiques et la liberté religieuse pour l'Eglise adventiste du septième jour en Roumanie. «Si la sensibilisation à ce sujet vital n'est pas constamment promue, alors il peut facilement se perdre. C'est pourquoi nous tenons des réunions tant en conjonction avec les conseils locaux et d'autres organisations à travers le pays. Nous utilisons les salles publiques, les écoles, même un monastère orthodoxe en tant que lieux et inviter la population locale en vue d'y assister. Nous avons des enseignants, policiers, médecins, ainsi que des représentants du gouvernement local qui travaillent avec nous dans la promotion de l'importance de la liberté de conscience et la pratique religieuse dans le cadre d'une société démocratique. "
Roumanie, un ancien pays communiste, a lutté pour définir sa réaction au pluralisme religieux depuis le début des années 1990. «Il ya beaucoup de pression sur le gouvernement d'organisations religieuses de la majorité pour soutenir le concept d'une religion d'Etat", dit Dima. Il ajoute qu'il ya également préoccupé par les déclarations faites par certains représentants du gouvernement remet en question l'engagement de la Roumanie à la Déclaration universelle des droits de l'homme. La législation proposée sur les questions religieuses, qui comprend un «anti-secte" disposition, est également sur la table et doit être considéré comme "très attentivement et sérieusement», dit Dima.
Dima souligne l'importance de tendre la main à toutes les facettes de la société académique, politique et religieux. Il dit que les réunions NADCL comprendra des présentations par des spécialistes de l'Académie roumaine, le ministère des Affaires religieuses, des juristes et des membres de groupes religieux. Les participants examineront le rôle et l'implication des églises dans l'harmonie sociale, la liberté religieuse et la législation internationale, et l'importance de la liberté de conscience et les droits humains dans l'intégration européenne.
Autre liberté religieuse et des droits humains sont également impliqués, et un réseau de partisans de la liberté religieuse est en croissance en Roumanie, dit Dima. L'association dirigée par Dima a pour but de faciliter la communication, d'une manière non sectaire, entre tous les groupes ayant un intérêt dans le pluralisme religieux en Roumanie. L'Association est affiliée à l'International Religious Liberty Association, une association mondiale dédiée à la promotion des principes de liberté religieuse.
Le NADCL a tenu plus de 20 de ces déplacements promotions liberté religieuse en Roumanie l'année dernière, et a des plans pour beaucoup d'autres en 2001.