General Conference

Proclamer la vérité, changer des vies

Le projet 2.0 de la Tragédie des siècles se poursuit

Différentes couvertures du livre La Tragédie des siècles. [Photo de : https://adventist.news/news/great-controversy-project-2-0-encourages-personal-discipleship]

Différentes couvertures du livre La Tragédie des siècles. [Photo de : https://adventist.news/news/great-controversy-project-2-0-encourages-personal-discipleship]

« C'est le livre qui a absolument changé ma vie ».

Le pasteur John Bradshaw, président de It Is Written [Il est écrit], un ministère d'évangélisation médiatique centré sur le Christ qui proclame l'Évangile éternel dans le monde entier, partage son expérience personnelle de l'impact significatif qu'a eu La Tragédie des siècles sur sa vie.

En tant qu'adventistes du septième jour, le Seigneur nous a donné La Tragédie des siècles pour partager Son message complet d'amour. « La Tragédie des siècles devrait être très largement diffusée.... car dans [ce livre], le dernier message d'avertissement au monde est donné plus distinctement que dans n'importe quel... autre livre.1 »

C'est cette réalité qui a inspiré le projet de La Tragédie des siècles 2.0, une initiative de l'Église mondiale pour les années 2023 et 2024. Ce projet vise à associer chaque membre d'Église à la distribution de millions d'exemplaires du livre dans les mains et les foyers des personnes en quête de vérité en ces temps sans précédent. Bien que la distribution massive de ce livre puissant ait récemment été critiquée, le projet vise à distribuer le livre, qu'il soit imprimé ou électronique, de la manière la plus efficace qui soit : de personne à personne.

Bradshaw témoigne que c'est ce livre qui l'a amené à la vérité de la Parole de Dieu et, par conséquent, à l'Église adventiste du septième jour.

Dans sa jeunesse, Bradshaw a été élevé pour fréquenter fidèlement l'église catholique, allant même jusqu'à aider le prêtre pendant les services religieux. « J'aimais mon église et les gens qui la fréquentaient », dit-il. « J'ai fréquenté une école paroissiale qui, comme l'église, était très proche de l'endroit où je vivais. Ma famille était présente à l'église et à l'école paroissiale depuis des décennies ».

Cependant, en grandissant, il a commencé à se poser des questions sur ce qu'il croyait. « Ce qui compliquait les choses, c'est qu'on nous apprenait à ne pas remettre en question notre foi, mais à accepter tout ce qu'on nous enseignait. Mais mes questions persistaient ». Il s'est heurté à des déclarations contradictoires sur ce qui arrive à une personne après sa mort, lorsqu'il a entendu des prêtres réconforter les proches endeuillés en disant que le défunt était au ciel alors qu'ils plaçaient ensuite son corps dans la tombe jusqu'à la résurrection. Ces contradictions le laissaient perplexe.

Plus tard, il s'est posé des questions sur l'enfer éternellement brûlant, la prière aux saints, le purgatoire et bien d'autres sujets. « J'avais de plus en plus de mal à accepter ce qu'on m'avait enseigné quand j'étais enfant. Mais où pouvais-je aller ? J'étais catholique. J'ai essayé de fréquenter plusieurs autres églises, cependant je n'étais pas convaincu qu'elles étaient plus proches de la vérité que ce que je savais déjà. »

Après avoir été élevé dans la religion catholique, la lecture de La Tragédie des siècles a changé la vie de John Bradshaw. Aujourd'hui, il est le président de It Is Written, un ministère d'évangélisation médiatique centré sur le Christ et dédié au partage de l'Évangile dans le monde entier. [Photo de : https://itiswritten.tv/it-is-written]
Après avoir été élevé dans la religion catholique, la lecture de La Tragédie des siècles a changé la vie de John Bradshaw. Aujourd'hui, il est le président de It Is Written, un ministère d'évangélisation médiatique centré sur le Christ et dédié au partage de l'Évangile dans le monde entier. [Photo de : https://itiswritten.tv/it-is-written]

Après plusieurs années, Bradshaw décida enfin de lire La Tragédie des siècles (le troisième exemplaire qu'il avait reçu mais qu'il n'avait pas encore lu). C'est là qu'il a trouvé les réponses bibliques aux questions qui le troublaient depuis si longtemps. « J'ai eu du mal à poser le livre. Il semblait expliquer l'histoire et les prophéties d'une manière à la fois profonde et simple et, contrairement à d'autres livres religieux que j'avais lus, il ne semblait pas apporter de réponses trop simples à des questions compliquées. Je savais que je tenais entre les mains un livre différent de tout ce que je n’avais jamais lu ».

En prenant conscience des vérités étonnantes qu'il possédait désormais, Bradshaw a compris qu'il allait devoir changer radicalement de vie. Au lieu de nier la direction de Dieu dans sa vie, il dit : « J'ai baissé la tête et j'ai prié, disant à Dieu que je croyais qu'Il m'avait montré les réponses à beaucoup de mes questions. Je voulais suivre Jésus et je l'ai invité dans mon cœur ».

Suivant les traces de son frère, qui était devenu adventiste du septième jour après avoir découvert ces mêmes vérités pour lui-même, Bradshaw chercha l'Église adventiste du septième jour la plus proche. « J'ai appelé le standardiste. 'Puis-je avoir le numéro de téléphone de la cathédrale adventiste du septième jour ?' Mon voyage avec Jésus commençait. Il se poursuit encore aujourd'hui. »

Le pasteur John Bradshaw est l'un des milliers de personnes dont la vie a été transformée par La Tragédie des siècles. Et des centaines de milliers, voire des millions d'autres attendent que quelqu'un partage avec eux ces vérités qui changent leur vie.

Si vous souhaitez vous impliquer personnellement en rejoignant le projet de La Tragédie des siècles 2.0 et en partageant ce livre percutant avec d'autres, visitez le site https://greatcontroversyproject.org. Vous pouvez également visiter la page Facebook du projet ou rejoindre le groupe Telegram.

Vous pouvez également participer aux prochains voyages missionnaires visant à distribuer des centaines de milliers d'exemplaires de La Tragédie des siècles en visitant le site www.streamsoflight.net/usa-mission-trips/.

1. Ellen G. White, Letter 281, 1905

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